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 Pour un flirt avec toi

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Hizashi Wahei
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Hizashi Wahei


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MessageSujet: Pour un flirt avec toi   Pour un flirt avec toi EmptyMar 15 Mai - 10:02

Un. Deux. Trois.
Trois pas. Trois pas la séparaient de la Bombe en Imper. Elle pouvait voir son Cul Bien formé à travers l’étoffe noire. Mmmh… La fente qui caractérisait les trenchs-coats et permettait aux soldats de la première guerre mondiale de ramper dans la boue n’avait pas que son utilité dans les tranchés. Bien au contraire. Elle invitait à regarder, à imaginer, à rêver.
Alaude. Le beau gosse blond avait dit que le mec à l’imper s’appelait Alaude. Hizashi entrouvrit les lèvres et chuchota lentement ce prénom. A-LAU-DE. Sa langue prenait autant de plaisir à prononcer ce prénom qu’à sucer un Bout de Chocolat. Un frisson parcourut sa colonne vertébrale et elle sentit sa bizoune s’embraser. Alaude. Alaude. ALAUDE.
Elle n’avait encore jamais ressentit ça. Sauf peut-être lorsqu’elle avait aperçu Itachi dans les rues de Konoha il y avait trois ans déjà. Elle se sentait comme un volcan sur le point d’entrer en irruption. Elle bouillonait tellement de l’interieur qu’elle en venait même à avoir des pensées gentilles pour Rukia. Elle espérait que la jeune ninja parvienne à se faire le sublime leader de ce groupe de beaux gosses ; la pauvre fille semblait avoir désespérement besoin de choper. Surtout que le gars sur qui elle était réellement –Kakashi bien sûr - était encore plus coincé qu'elle. Le fait de s’emballer autant pour Alaude avait (enfin)permis à la jeune libraire de comprendre que la jolie ex-rousse ne pourrait jamais réelement représenter un danger pour elle vu que le gars pour lequel la kunoichi s’interessait était l’unique être humain qu’elle ne pourrait jamais avoir puisqu’il s’agissait de son frère. Qui, il fallait l’admettre, était complètement Con. Une superbe fille come ça, et lui ne tente rien ? Quel gachis ! C’était bien fait pour lui que Rukia se soit interessée à un autre gars.
Mais son esprit divaguait. Revenons à nos moutons. C’est-à-dire à Alaude.
Alaude. Etincelle dans son Coin particulier. Alaude. L’étincelle se transforma en flamme. Alaude. Brasier. Alaude. Autodafé. ALAUDE!
Il se retourna. Merde ! Elle avait du parler trop fort ! D’habitude, elle ne faisait pas ce genre de bourdes. C’était sans doute lié à l’espèce de cocktail orange que le groupe de beaux gosses leur avat fait boire, à Rukia, Kakashi et elle, avant de partir.

« Est-ce que tu me suis ? » (Est-ce-que tu me suis?, Florent Pagny)

La libraire devint rouge pivoine.
Son temps de réaction étant trop long, Alaude la fixa pendant trois (interminables) secondes, émis un petit « Hmm », se retourna et continua son chemin.
Merde. MERDE ! Ca ne lui arrivait pas d’habitude de beuguer autant. Peut-être était-ce dû au fait que pour une fois sa proie lui plaisait ? Ou qu’il n’en avait sensiblement rien à foutre d’elle ?? Nan, elle s’interdisait cette pensée. Avec la paire de sein qu’elle se tappait, aucun mec ne pouvait pas la vouloir. A part Gai. Mais il était bizarre de toute façon. Ressaisis-toi, tu as un mec a pécho. Et tu ne veux pas que Rukia score avant toi, n’est-ce pas?
Elle rattrapa Alaude, pris une profonde inspiration, tapota son épaule et se lança :

« Fai[sons] une virée à deux. […] Au milieu de la nuit, en catimini […] on s’en ira […] danser le calypso en Italie et boire allegrotto ma non troppo » (Voyage en Italie, Etienne Daho)

Pour une réponse improvisée, elle trouvait qu’elle ne s’en était pas trop mal sortie. Surtout que la troupe de beaux gosses semblait venir d’Italie.

« Je ne bois pas. » (désolée, j'ai beau chercher, je ne trouve pas de chanson qui parle de ne PAS boire Wink )

Et il se retourna encore. Merde, ça n’allait pas être aussi facile que prévu.
Mais le gars trop bruyant, qui semblait d’ailleurs être le seul à avoir une quelconquerelation avec ce glaçon en imper (il était beau, d’accord, mais vraiment pas causant) lui vint en aide de manière inattendue en donnant un coup de coude à Alaude.

«[Elle a d]es grands yeux noirs qui vous ensorcèlent [... et] ses mouvements [qui] font voir monts et merveilles. »(Belle, Richard Cocciante / Luc Plamendon)

« [Non,] elle a dans ses yeux noirs, toute une histoire, qui n’est pas notre histoire. » (Elle imagine, Nacash)

Et alors ??? Ca n’était pas parce qu’elle ne faisait pas parti de leur histoire (de tordus par ailleurs, vu leurs fringues) qu’elle n’était pas un bon coup !!! Elle eu envie de laisser tomber. Il l’indignait à un tel point ! Bon, puisqu’il avait envie de jouer la banquise, elle décida d’aller se chauffer à un autre soleil. Qui restait-il ? Le gars bruyant, qui même s'il l’avait aidée, lui tappait toujours sur le système, le gars aux cheveux rouges, qui ne devait pas s’intéresser aux filles, le beau blond, qui était toujours scotché à Rukia, et puis elle avait décidé de le lui laisser, sans rancune, hein ? Sinon, y avait aussi le gars aux cheveux verts, il était mignon, mais il semblait terriblement s’ennuyer depuis qu’ils avaient quitté "Chez Ichiraku". Restait le mec avec la belle veste. Ca lui allait. Elle aimait assez son sourire de pervers.
Elle décida de l’aborder une fois arrivés dans ce bar où ils voulaient les emmener. D’ailleurs, ils devaient être arrivés, vu que tout le monde s’arrêtait. Elle leva la tête. L’arcobaleno. Où avaient-ils été trouver un bar aussi miteux ? La dernière fois qu’elle y avait été avec Rock Lee (ce gamin était moche, mais il aimait bien boire) elle s’était retrouvée complètement torchée après seulement deux kirs parce que le barman ne savait vraiment pas doser la crème de cassis. Elle entra quand même, à la suite des autres. En même temps, maintenant qu’elle y réflechissait, ça servait pas mal ses intérêts. Et ceux de Rukia aussi, par ailleurs. Elle devait être un peu moins coincée du Cul quand elle était bourrée. Et elle semblait bien avoir envie de conclure avec son beau blond, même si elle n’osait pas grand-chose. Décidée à faire preuve de charité, Hizashi attrapa une bouteille de vodka (spéciale dédicace à Vomito) sur le comptoir, fit un clin d’œil au serveur (avec Ce qu’elle lui avait fait la dernière fois, il lui devait bien ça) et lança à la ronde :

« Bon, là, les gars, on va se lâcher un peu. Là, on a bien digéré, maintenant on se prend... […] On va [jouer au jeu de la bouteille]. C'est [un jeu] complètement débile! On [se met] en rond, on se lâche et on fait n'importe quoi! [...] Prenez [la bouteille], lancez-là. Et c'est parti, [le jeu de la bouteille] est lancé. [...] Allez de plus en plus vite et de plus en plus fort [...] Allez on tourne, on tournille. » (Cum cum Mania, Félicien)

Elle avait soif. Le désir de procurer du plaisir à Rukia la rendait bavarde.

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Rukia Namikaze
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MessageSujet: Re: Pour un flirt avec toi   Pour un flirt avec toi EmptyMar 29 Mai - 3:15

    Sa tête commençait à lui tourner dangereusement. Evitant tout geste brusque qui l’aurait entraînée à lâcher une crêpe au beau milieu du restaurant, la jeune femme s’installa plus profondément dans sa chaise. Avant qu’elle n’ait pu remercier le ciel de l’avoir protégée contre des vomissements intempestifs, le gars le plus bruyant de la bande proposa une activité ludique, celle de faire la tournée des bars. La Kunoichi s’apprêtait à décliner l’invitation, redoutant que son ébriété ne la pousse à tenter d’égorger une nouvelle fois un haut dignitaire, quand son charmant voisin se leva pour rejoindre le groupe des fêtards. Cela avait le mérite de changer un peu la donne. Rukia hésitait encore entre la perspective de se taper le beau blond pour se morfondre le lendemain et celle de rentrer bien sagement chez elle, quand la Charmante Hizashi rejoignit le groupe des sept canons. Le sang de la Kunoichi ne fit pas un tour ; il était clair que si elle ne participait pas à la soirée, cette nana allait sauter (sur) son jardinier. Sans hésiter plus longtemps, Rukia bondit hors de sa chaise et rejoignit les rangs des fêtards. Arrivée à la hauteur du grand Blanc, la jeune femme chercha sa main afin de la frapper contre la sienne comme pour lui assurer sa participation à la soirée. Une fois qu’elle l’eut repérée, elle prit tout son élan et lança violemment sa main vers celle du jeune homme. Si la main de Knuckle ne heurta que du vent, celle de Rukia elle, préféra s’écraser de plein fouet sur un innocent. La jeune femme se figea, demeurant interdite devant la puissance de son coup qui avait réussi à faire chanceler sa victime. Puis elle se ressaisit et, réalisant son geste avec effroi, jeta un coup d’œil paniqué vers celui qui avait fait les frais de sa bonne humeur.

    Ce furent les cris angoissés du type aux cheveux rouges, G, qui l’aidèrent à reprendre ses esprits. Jusqu’alors restée abrutie à contempler la joue rouge vif de Giotto, la jeune fille se ressaisit et tenta de rejoindre le beau blond afin de se morfondre en excuses. G l’intercepta, se posa prestement devant elle de sorte à lui interdire tout accès au beau blond puis, les narines aussi dilatées que celle d’un taureau de Corrida, se pencha vers la Kunoichi et lui adressa férocement, un doigt accusateur tendu vers elle :

    « Diabolique sorcière ! » [Infernal, Frollo, Le Bossu de Notre Dame]

    Gné ? Mais kessey qui m’cause, lui ? fut la première réaction de la jeune femme. La deuxième, tout aussi pertinente, fut celle de se demander où l’homme aux cheveux rouges avait appris à insulter. Elle allait lui balancer son injure suprême (vieille nouille pourrie au soja), quand une main se posa sur son épaule. Prenant de vitesse les deux membres les plus violents du groupe, le jeune homme blond à la joue légèrement rosée vint calmer le jeu en adressant aux deux éléments perturbateurs du groupe :

    « Zen, restons zen. » [ Zen, Zazie]

    Si le contact chaleureux de l’étranger réussit à calmer les nerfs de la jeune femme, il n’apaisa pas ses ardeurs. Occultant alors complètement le stressé aux cheveux rouges, la jeune femme détourna le regard vers le séduisant Giotto et entreprit de commencer une longue série d’excuses. Cependant, comme s’il avait deviné ses intentions, le grand blond tenta de plaquer sa main contre les lèvres de Rukia afin de lui épargner quelques vaines excuses. Le jeune homme, visiblement tout aussi agile qu’elle, avait loupé ses lèvres et avait asséné un coup sur la mâchoire de la Kunoichi suffisamment puissant pour qu’elle se morde violemment l’intérieur des joues. Le choc fit chanceler la jeune Kunoichi et en moins de deux secondes, elle se retrouvait les fesses sur les pavés. Si la jeune femme était complètement hébétée, le grand blond lui, semblait tétanisé. Ils se jaugèrent quelques secondes, complètement désemparés.

    Les deux estropiés se bidonnaient lorsque le groupe s’engouffra dans le bar « Arcobaleno ». Après que Rukia se soit relevée et que le beau Giotto ait essayé de s’excuser, les deux jeunes gens avaient échangé un regard et s’étaient esclaffés, soudain conscients du ridicule de la situation. Ils avaient alors suivi les autres jusqu’au bar, complètement hilares, imitant tour à tour l’affolement du type aux cheveux rouges. Ce ne fut que lorsque les deux s’engouffrèrent dans le bistrot qu’ils cessèrent leurs singeries et suivirent sagement les autres. Rukia prit alors le temps de considérer les lieux et de repérer où se trouvaient les toilettes. Mieux vaut prévenir que subir. Rukia s’installait autour de la table choisie par le groupe quand Hizashi proposa un jeu fort sympathique pour une Rukia un brin réchauffée par la boisson :

    « Bon, là, les gars, on va se lâcher un peu. Là, on a bien digéré, maintenant on se prend... […] On va [jouer au jeu de la bouteille]. C'est [un jeu] complètement débile! On [se met] en rond, on se lâche et on fait n'importe quoi! [...] Prenez [la bouteille], lancez-là. Et c'est parti, [le jeu de la bouteille] est lancé. [...] Allez de plus en plus vite et de plus en plus fort [...] Allez on tourne, on tournille. »

    Bien que la Kunoichi n’ait jamais joué à ce jeu, elle comprit très vite qu’il serait plus que bénéfique pour son entreprise de jardinage. Faisant néanmoins mine de ne pas s’intéresser au jeu, elle se tourna vers son voisin et lui demanda de lui apprendre quelques notions d’italien. Elle était entrain de répéter ce que le jeune homme lui avait appris lorsque la bouteille tomba sur elle. Rukia détacha alors son regard de celui de Giotto et aperçut que c’était avec Hizashi qu’elle devait échanger un baiser sur la joue. Plus enjouée que gênée par cette perspective, la Kunoichi attrapa son verre et le descendit cul-sec. Elle se laissa ensuite approcher par Hizashi sans brancher et constata avec étonnement que se faire embrasser sur la joue, ce n’était finalement pas si dégueulasse que ça. C’était même agréable. Le baiser furtif échangé, la jeune femme s’éloigna légèrement du dossier de la chaise et essaya de calculer son coup pour que la bouteille tombe sur le beau blond. Une fois ses calculs opérés, la jeune femme fit tourner la bouteille et s’enfonça plus profondément dans sa chaise. Elle regarda la bouteille tourner et laissa échapper une exclamation lorsqu’elle se rendit compte que la bouteille s’était arrêtée sur Hizashi. Merde. Sentant sa température augmenter, la jeune femme attrapa la bouteille et remplit son shooter ainsi que celui de la sœur de Kakashi. Comme la première fois, elle le but cul-sec sans trop se poser de question. Le verre reposé, une bouffée de chaleur plus puissante que la première vint réchauffer ses entrailles. Sentant le malaise venir, la jeune femme se résolut à remédier à la crise et ôta son pull, laissant découvrir une chemise carreautée rouge. Elle était entrain de déboutonner les deux boutons du haut lorsque le grand bruyant se mit à hurler :

    « Le bisou, le bisou, le bisou ! »

    Elle l’avait presque oublié. Cette fois plus résignée qu’enjouée, la jeune femme se pencha sur la table et déposa avec appréhension un baiser fugace sur les lèvres la jolie Hizashi. La caresse buccale n’avait duré que quelques microsecondes mais avait largement suffi à faire quadrupler la température corporelle de Rukia. Comme pour se remettre de ses émotions, cette dernière attrapa la bouteille et se resservit un verre qu’elle but d’un trait. Sentant des gouttes de sueur perler tout le long de son échine, Rukia se résolut à détacher le reste de ses boutons et à enlever sa chemise. C’est le cas de le dire, Rukia en tient une couche.

    C'est en débardeur que Rukia regardait Hizashi faire tourner la bouteille une nouvelle fois. Cette dernière tournait encore lorsque la jeune femme croisa ses bras sous sa poitrine, trop candide pour imaginer que ce geste faisait plus ressortir sa poitrine qu’il ne la protégeait. Elle faillit s’étrangler lorsque la bouteille tomba une nouvelle fois sur elle. Interloquée, elle leva la tête vers Hizashi comme pour chercher une explication. Puis, l’alcool se jouant d’elle, la jeune femme se mit à exploser de rire, presque ravie que la bouteille s’acharne sur Hizashi plutôt qu’un autre. Cela valait mieux qu’un des autres types assis à cette table ; ce serait plus aisé d’expliquer à son plan cul que ce baiser ne signifiait rien. Avec entrain, la jeune femme attrapa son troisième verre et le cala sec. Ensuite, elle se leva de sa chaise pour rejoindre Hizashi. La vodka agissant lentement mais sûrement, les quelques mètres qui séparaient Rukia de Hizashi ne furent pas de tout repos : le sol tanguait et les meubles avaient une fâcheuse tendance à bouger. Ce ne fut qu’une fois devant Hizashi que la jeune femme se posa cette question existentielle : comment roule-t-on une pelle ? Déstresse, Rukia. Si des vampires scintillants peuvent le faire, tu dois pouvoir y arriver. C’est alors avec la délicatesse des gens complètement bourrés que Rukia pencha son visage vers celui d’Hizashi et s’apprêta à accomplir la volonté de la bouteille.


[ HRP : À toi ma Chaire de décider de ce qu'il adviendra ! o/
HRP ² : Je me relis demain... Désolée pour la fin un peu merdique :/]
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Hizashi Wahei
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Hizashi Wahei


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MessageSujet: Re: Pour un flirt avec toi   Pour un flirt avec toi EmptyDim 4 Nov - 15:40

Le premier shot de vodka commençait à faire effet lorsque Hizashi se rendit compte que la bouteille s’était arrêtée sur Rukia. Elle émit un grognement satisfait. La leçon de dévergondage allait enfin pouvoir commencer.

Elle observa la Belle rousse avaler son verre cul sec. Niveau boisson, elle n’allait pas avoir grand-chose à lui apprendre… En même temps, l’alcoolisme était une des rares choses dans lesquelles la libraire n’excellait pas. En effet, elle buvait rarement, préférant garder la tête claire et l’esprit lucide pour pouvoir choper le plus vite possible. En plus l’haleine de pochtronne, c’était vraiment pas sexy. Du coup, n’ayant pas beaucoup d’expérience, elle ne tenait pas vraiment l’alcool. Mais bon, elle voyait bien que si elle voulait à la fois permettre à Rukia de perdre sa virginité et sauter Alaude, il fallait que tous les deux laissent tomber quelques barrières. Quitte à ce qu’elle-même finisse en coma éthylique. Elle imita donc la jeune kunoichi et vida le verre que celle-ci lui avait versé d’un trait.
Rukia, se rapprochait d’elle, plus aguichante que jamais. Sous l’effet de la boisson, ses joues avaient prises un jolie couleur rosâtre, mettant en valeur ses yeux d’un bleu si profond. Hizashi dû se mordre la lèvre pour s’empêcher de la prendre là, maintenant, tout de suite. La petite en aurait été traumatisée. Il valait mieux attendre un peu, permettre à la ninja d’avoir un petit peu d’expérience avant de lui faire vivre le paradis du batifolage. La libraire déposa donc un baiser léger sur la joue de la Belle rousse, avant de se retirer aussi vite que possible, pour résister à la tentation. La peau de Rukia était douce comme celle d’un bébé. Résiste, Hiza, résiste. Contente-toi du Gars à l’imper ou du Gars à la Belle veste pour ce soir. Laisse la Petite au Beau Blond. Ton tour viendra bien assez tôt.
Calée contre le fauteuil du bar, elle observa Rukia faire tourner la bouteille. Merde, même en faisant tourner une bouteille de vodka dégeulasse elle était plus sexy que toutes ces poufiasses qui posaient nues dans les magasines de Kakashi. Comment ce dernier pouvait-il résister à temps de Candeur et Sensualité ?? Perdue dans ses pensées, la libraire ne s’aperçue pas que le Culot de la bouteille la désignait. Ce n’est qu’en voyant Rukia remplir à nouveau son verre qu’elle s’en rendit compte. Un baiser sur la bouche. Ses pensées étaient mitigées. Sa tête lui disait non. Son corps lui disait oui, Oui, OUI. Rukia ne lui laissa pas vraiment le choix. Après avoir enlevé son pull (merde, pourquoi avait-elle fait une chose pareille ?? Avec les premiers boutons de sa chemise ouverts, elle était encore plus attirante), la Belle rousse se pencha vers elle et ferma les yeux. Hizashi dégluti et s’exécuta. C’était encore mieux que ce qu’elle avait imaginé. Les lèvres de Rukia étaient Charnues et légèrement sèches ce qui provoqua un léger picotement sur les siennes. Elle adorait ça. Les baiser trop mouillés, c’est deg. Non, ce qu’il y a de mieux, c’est quand l’autre à les lèvres gercées. Ça fait mal, enfin juste un peu, et y a rien de plus agréable. Elle se recula pour observer l’effet que cet attouchement labial avait fait sur la jeune kunoichi. Elle semblait positivement surprise. Mais elle avait l’air d’avoir super chaud aussi, parce qu’elle enleva sa chemise. Son débardeur blanc était trempé de sueur et lui collait à la peau. Elle avait eu aussi la bonne idée de mettre un soutif noir. Hizashi en voyait chaque détail. Contrairement à ce qu’elle avait imaginé, vu que la ptiote semblait si naive et inexpérimentée, le soutif était particulièrement échancré et ornée de dentelle sexy et provocante. Tu caches bien ton jeu, Coquine. En lançant un regard à la ronde, Hizashi se rendit compte qu’elle n’était pas la seule à mater. Les regards des sept garçons étaient fixés sur les seins de la Bonne rousse. Visiblement, génée, celle-ci croisa les bras sur sa poitrine, tentant en vain de protéger son délicieux 85A du regard lubrique des 8 pervers qui se trouvaient en face d’elle. Manque de pot, son geste ne fit que lui remonter les seins, les rendant encore plus alléchants. La température de la salle monta d’un cran. Tous avaient faim et Rukia était le plat du jour.
Les yeux accrochés à la poitrine de la Kunoichi, Hizashi fit tourner la bouteille. Sa culotte était trempée, ses pensées se bousculaient dans sa tête et elle sentit sa langue fonctionner toute seule :

"T'es plus jolie que toutes les filles
Qui posent en couv' des magazines
T'es le fantasme de tous les hommes […]
Parce que t'es bonne. "
(T’es bonne, Max Boublil)

Rukia ne releva pas, elle semblait partie à des années lumières. Ses grands yeux bleus étaient perdus dans ceux, d’un étrange orange, du Beau Blond. Les hommes, par contre, qui semblaient ne plus pouvoir retenir leurs hormones, regardèrent la libraire d’un air approbateur. Elle avait mis en mot ce que tous pensaient. Lorsque la bouteille eut fini de tourner et qu’elle désigna la Bonasse rousse, la température de la salle monta de dix degrés. Hizashi savait ce que cela voulait dire. Elle connaissait les fantasmes masculins sur le bout des doigts. Deux filles qui se roulaient une pelle, il n’y avait rien de plus érotique. Rukia sembla hésiter in quart de seconde, et puis, l’alcool aidant, elle s’approcha de la libraire, la bouche et les seins en avant.

Il n’y a pas de mots capables d’exprimer ce que ressenti Hizashi à ce moment-là.

Doucement, tout doucement, pour ne pas précipiter ce moment délicieux, elle s’approcha de la kunoichi. Elles étaient assise l’une en face de l’autre, la table se trouvait entre elles d’eux. Juste que là, ça avait plutôt joué en faveur de la libraire, lui évitant ainsi d’être trop proche de la Bonasse et lui permettant ainsi de calmer ses ardeurs. Mais à présent, alors que sa libido avait pris l’avantage sur sa raison, la table gênait énormément. Elle monta donc à genoux dessus, avançant à quatre pattes vers Rukia. Elle s’était entraînée à ça, elle savait avoir une allure la plus féline possible. Elle sentie que le regard de certains des mecs se détachèrent de Rukia pour s’accrocher à son cul, moulé dans sa salopette. Seul le Beau Blond n’avait d’yeux que pour la rousse. Son visage n’était plus qu’à deux centimètres de celui de la ninja. Dans un souffle, elle murmura :

"Je te veux, je te veux maintenant." (Je te veux maintenant, Cali)

La rousse soupira et ferma les yeux. Alors Hizashi pressa ses lèvres contre les siennes.

Quelque chose explosa dans son vagin.

Après un temps qui lui parut à la fois une seconde et une éternité elle s’éloigna. Rukia resta les yeux fermés, le menton levé, comme en attente. Encore. Plus. Hizashi ne parvient pas à détacher son regard d’elle. Elle était si Pure. Si Parfaite. C’était pour cela qu’elle n’avait pas le droit. Pas le droit de profiter de l’état d’ébriété de la kunoichi. Depuis le début, cette dernière n’avait d’yeux que pour le Beau Blond. Alors, c’est lui qu’elle aurait. Profitant du fait que Rukia avait toujours les yeux fermés, la libraire attrapa la main de celui que les autres appelaient Giotto. D’un regard, elle lui fit comprendre que ce c’était à lui de satisfaire la Belle et Bonne rousse. Il lui sourit, comme pour la remercier, puis approcha son visage de celui, toujours en attente, de Rukia.

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Rukia Namikaze
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MessageSujet: Re: Pour un flirt avec toi   Pour un flirt avec toi EmptyLun 12 Nov - 17:09

Se laissant bercer par la cacophonie du bar, le jeune homme essuyait lentement la salle du regard, détaillant le visage de chaque inconnu qui s’y agglutinait. Son regard fut quelques instants distrait par le profil parfait d’une jeune femme aux cheveux noirs de jais. Le jeune homme ne la voyait pas pour la première fois et pourtant, il s’émerveillait encore devant son profil de déesse "sunaroise". Son regard brillant, ses cheveux noirs descendant en cascade sur une nuque majestueuse, sa taille sculptée par Michel-Ange et son allure presque condescendante ne laissaient pas le garçon indifférent. Envouté par le charme de la reine de cette taverne, le jeune homme la regardait sourire et s’amuser, sans jamais tenter quoique ce soit pour attirer son attention. Il n’était pas venu pour elle. Le jeune homme soupira, attrapa son verre et fit tourner les glaçons à l’intérieur. Ce mouvement aurait pu l’occuper des heures mais la déesse brune en décida autrement. Cette dernière lui offrait enfin une ouverture.

~~~~~~~~~~~~

Finalement, ses lèvres atteignirent celles de la jeune femme. Pas de feux d’artifice, ni même de sensations extrêmes n’enflammèrent les sens de la Kunoichi. Un simple vertige, assez désagréable, vint la surprendre du haut de sa chaise. Ce baiser avait été si simple à réaliser alors pourquoi n’avait-elle jamais réussi à en provoquer un avec Kakashi ? Peut-être parce qu’elle n’avait jamais exprimé clairement ce qu’elle attendait. Sûrement parce qu’elle avait la trouille que la Terre ne cesse de tourner à la suite d’un baiser atterrant. La jeune fille rouvrit promptement les paupières lorsque des doigts étrangers vinrent dégager quelques mèches de cheveux de son visage. A une poignée de centimètres de ses lèvres se trouvaient celles du bel Italien. Ils s’échangèrent quelques instants un regard puis il courba l’échine.

Une vague de chaleur s’abattit sur la Kunoichi lorsque les lèvres de l’Italien rejoignirent les siennes. Si avec Hizashi le temps s’était écoulé lentement, avec Giotto, les secondes semblaient se bousculer à une vitesse vertigineuse. Lorsque le jeune homme desserra son étreinte, la jolie rousse, guidée par la fièvre, chercha à nouveau ses lèvres pour y déposer un baiser brûlant. Elle aurait pu passer des heures ainsi, accrochée à ses lèvres, mais une main déposée brutalement sur son épaule l’en empêcha. Comme sortie d’un délicieux rêve, elle jeta un regard agacé par-dessus son épaule. Le visage qui se dessinait devant ses yeux semblait sortir tout droit d’un cauchemar. Passant de l’agacement à un état de franche horreur, la jeune femme manqua de tomber de sa chaise. Pourquoi lui… ? Momentanément hébétée devant le regard si dur de ce visage familier, la jeune femme articula avec une voix un peu plus aigüe qu’à l’ordinaire :

« Gai ? »

La présence du plus grotesque Jônin de Konoha avait giflé violemment l’esprit jusqu’alors engourdi de la jeune femme. Sous les pieds de sa chaise, Rukia sentait son monde s’écrouler : Gai avait tout vu et il irait tout raconter à Kakashi. C’était un désastre. A moins que… Et si elle le tuait ? Arrête tes conneries Rukia, tu vas pas le décaniller pour ça. Non mais qu’est-ce que ça peut bien foutre que Gai t’ait vue ? Oui il irait raconter cette histoire à Kakashi, et alors ? T’en as plus rien à foutre de ce type, si ? La jeune femme se mordit les lèvres et jeta un regard vers le bel Italien. Oui, elle n’en avait plus rien à faire. Elle détourna alors son visage vers celui de Gai et ne put contenir une grimace teintée d’horreur. Son tête, hideuse et repoussante, était à quelques centimètres de la sienne. Elle lança son pied en direction de son entrejambe pour le faire reculer, mais celui-ci arrêta net son mouvement. Etonnée, elle plongea son regard dans le sien. Quelque chose clochait dans son attitude. Avant même qu’elle n’ait pu déterminer ce qui la troublait, le Jônin se pencha vers elle et lui dit :

« Pourquoi tu gâches ta vie ? » ["Elle me dit", Mika]

Plus que ses mots, c’était le regard du Jônin qui intriguait Rukia. Pourquoi avait-elle la désagréable de ne pas reconnaître Gai ? Pourtant tout était là, de son équipement vert à ses sourcils broussailleux. Tout, excepté son regard. Son sentiment de supercherie s’intensifia lorsque le Jônin attrapa sa main pour la tirer hors de sa chaise. Jamais Gai n’aurait osé attraper sa main car mieux que quiconque, il savait ce qui arrivait aux personnes qui l’approchaient de trop près. De plus en plus méfiante, la jeune femme retira d’un geste vif sa main de celle du Ninja qui la rattrapa aussitôt. Gai était certes un maître en Taijutsu mais ses réflexes n’étaient pas aussi bons. Le seul qui aurait pu réagir aussi vite était Kakashi. Rukia fronça les sourcils, à présent certaine d’être face à un usurpateur. Qui était-il et que voulait-il ? Le bel Italien devança les interrogations muettes de jolie rousse et, se hissant à ses côtés, demanda au prétendu Gai ce qu’il désirait.

~~~~~~~~~~~~

Le jeune homme n’était pas quelqu’un d’impatient. Ni même quelqu’un de nerveux, d’ailleurs. A vrai dire, il avait toujours considéré que Rukia l’était suffisamment pour deux. Aujourd’hui, les rôles s’inversaient : alors que la jeune femme semblait sereine, lui était en proie à un vif agacement. Le jeune homme n’avait pas eu à s’interroger très longuement pour comprendre que la chute drastique de son calme naturel était liée à la présence de la jeune femme aux cheveux noirs de jais. Il risqua un coup d’œil vers celle-ci. Ses lèvres rosées, sa peau si claire, son regard frôlant la condescendance ; toutes ces merveilles étaient restées fidèles à son souvenir. La voix du prénommé Giotto le tira de sa contemplation. Il jeta alors un coup d’œil compatissant vers ce dernier : si ce type savait dans quel merdier il s’engageait en s’éprenant de Rukia Namikaze, la fille la plus névrosée du Pays du Feu, peut-être ne demeurait-il pas si placide. Néanmoins il n’était pas venu pour mettre en garde les prétendants de l’héritière Namikaze. Ni même pour rester debout au beau milieu d’un bar miteux d’ailleurs. Considérant que la jeune femme avait suffisamment baguenaudé dans ses sentiments, le jeune homme se pencha vers elle et récita lentement le code :

« Les sucettes bleues à la cerise sont les meilleures. »

Le garçon soutint le regard de la jeune femme, imperturbable. Ce regard, empli de vide et d’incompréhension, il le connaissait par cœur. Elle avait réagi de la même façon le jour où il lui avait expliqué avoir décimé sa famille pour le bien de Konoha. Le jeune homme resserra sa main sur celle de la Kunoichi, comme pour l’encourager à réorganiser ses idées. L’océan de ses yeux se fit alors moins vague, pour finalement être secoué par une violente tempête. Elle avait enfin compris. Comme si elle souhaitait rattraper le temps perdu, la jeune femme attrapa à la volée sac et veste et s’extirpa hors de sa chaise. Elle se tourna ensuite vers ses camarades et lança d’un ton qui se voulait convaincant :

« Désolée, le boulot. »

Il y eut quelques plaintes de protestation auxquelles Rukia ne répondit que par quelques vaines excuses. Le jeune homme, lui, ne s’aventura pas sur ce terrain miné. Il se contentait d’observer son amie, sans jamais tenter un regard vers le groupe de buveurs ; lever les yeux vers cette assemblée, c’était risquer de croiser le regard de la déesse Sunaroise. Et c’était pas le temps de tout faire foirer, surtout pas maintenant que Rukia semblait vouloir le suivre. Lorsque la jeune femme passa la bretelle de son sac sur son épaule, le Nunkenin (je sais plus comment ça s’écrit, gômen !) soupira légèrement. Ils allaient enfin décoller. Sa joie fut néanmoins de courte durée puisque la jeune femme, au moment même où ils se mirent en chemin, se ravisa. Elle jeta un bref coup d’œil vers le Nunkenin comme pour s’excuser, puis s’attela à la lourde tâche de foutre encore plus de bordel dans son sac à bandoulière. Agacé, le jeune homme la regarda sortir une feuille sur laquelle elle gribouillait désormais quelques mots. Elle la tendit ensuite vers l’homme au costard-cravate, les joues cramoisies. Sans doute parce qu’il devinait que cet acte entrainerait une séquence ‘émotion’ et surtout parce qu’il souhaitait laisser un peu d’intimité à la Kunoichi, le jeune homme détourna le regard de son amie. Grossière erreur. Alors qu’il aurait aimé pouvoir contempler en toute quiétude la foule scandaleuse qui peuplait cette taverne, le garçon croisa le regard de la jeune femme au profil parfait. Foutu pour foutu, le jeune homme ne chercha pas à s’en défaire.

« Un mot et je t’étrangle. »

Les mots de son amie l’arrachèrent à ses rêveries. Il brisa alors le contact visuel avec la jeune femme et détourna les talons.

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Putain. Ils pouvaient se voir qu’une fois dans l’an et qu’a fait Rukia L’Abrutie, ce fameux jour ? Elle s’est bourrée la gueule dans un bar miteux, dans des verres dégueux. Furieuse contre elle-même, la jeune femme poussa hâtivement la porte de la taverne et brutalisa au passage le jeune homme qui se tenait derrière. Sans même penser à l’aider à se relever, la jeune femme entraina son compagnon dans une rue peu fréquentée, perpendiculaire à la taverne. Elle s’arrêta après avoir fait quelques pas, se retourna vers son ami et annula le ninjutsu. Avec plaisir, elle retrouvait enfin ces traits qui lui étaient si chers.

- Itachi… T’es complètement dingue. Si on t’avait démasqu...
- Je n’avais pas trop à craindre d’être démasqué de ta part en tout cas, répondit-il un bref sourire sur les lèvres.
- Hein ? Je… Oui mais j’ai…
- Relaxe Rukia, tu vas faire une attaque. Si je suis venu, c’est parce que j’avais des choses importantes à te dire.
- Ah ouais ? Qu’est-ce qui pourrait être plus important que ta sécurité, crétin ?
- Ton anniversaire.

Avec un bref sourire en coin, le garçon lui tendit un paquet vert. Abasourdie par le fait que son meilleur ami ait bravé vents et marées (au moins…) pour elle et seulement pour elle, la Kunoichi ne trouva rien de mieux que de répondre par un son oscillant entre la voyelle ‘e’ et la voyelle ‘a’. Itachi se serait certainement foutu d’elle si un bruit dans la rue n’avait pas retenu son attention. Alertée à son tour, Rukia jeta un coup d’œil par-dessus l’épaule d’Itachi. Hizashi était à deux pas d’eux. Damn.

[Fin naze mais je me reprends la prochaine fois ! 8D]
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